
ARNICA est pour tous le remède providentiel… apprenez à mieux le connaître.
On les aime truqueurs, escamoteurs, menteurs, bagarreurs… On les aime quand ils volent d’une table à une armoire, s’accrochant souvent au tissu des murs… On les aime malhabiles, quand, s’élançant après un pigeon, ils oublient l’existence même du vide… On les aime, quand ils rentrent au petit matin, fourbus, crottés, déchirés, refusant la moindre caresse… On les aime tellement, qu’on ne veut rien d’autre que de les soulager…
Jacqueline PEKER, vétérinaire homéopathe
Arnica montana
Arnica montana est une plante de la famille des composées qui ne croît qu’à une certaine altitude (4000 mètres minimum). Elle grandit dans les prairies, au bord des chemins, des pâturages, et sur les terrains siliceux. Cette plante herbacée, vivace, a une tige qui peut atteindre 60 cm et qui se termine par une ou plusieurs belles fleurs jaunes.
Les fleurs d’arnica sont employées depuis le moyen âge comme vulnéraire. En médecine classique, on n’emploie que la fleur. En homéopathie, on emploie la plante entière récoltée au moment de la floraison (juin, juillet, août). Sa composition est complexe, et on a pu isoler 150 constituants.
C’est à l’inventeur de l’homéopathie, Samuel Hahnemann que nous devons l’étude de ses propriétés, et c’est bien en dilution homéopathique – 5, 7 ou 9 CH – que nous devons l’administrer aux chats. L’utilisation locale de la teinture mère (TM) est sans intérêt, et engendre parfois des irritations au niveau de l’appareil digestif, suite au léchage. Il en est de même pour toutes les préparations sous forme de pommades, gel, huiles.Les granules sont d’une grande efficacité… alors pourquoi prendre des risques ?
Traumatismes : Arnica 5 – 7 – 9 CH
Par « traumatismes », nous entendons l’ensemble des troubles physiques (parfois psychiques) provoqué par un agent extérieur agissant mécaniquement. Ainsi, affirmons-nous que les bagarres, les coups de balais, les coups de pieds, les chocs contre un coin de table, les chutes… sont des traumatismes de la vie quotidienne. N’oublions pas les traumatismes provoqués par la chirurgie, les accouchements, les voyages, les toilettages… les émotions de toutes sortes.