Le Viscum album en cancérologie – Robert Kempenich

Mis à jour le 23 juin 2016
viscum-album
Viscum album, une plante fondamentale dans les soins de support en cancérologie
Un ouvrage écrit par le Docteur Robert KEMPENICH *, éditions EMA, 2016

Le Viscum album

En France, 60 % des patients atteints de cancer se tournent vers les médecines complémentaires.

Dans le cadre de la phytothérapie en oncologie, Viscum album, le gui, est une plante fondamentale. C’est un hémiparasite qui pousse sur une grande variété d’arbres hôtes.

Il existe en Europe plusieurs extraits de Viscum album, préparés selon des processus pharmaceutiques spécifiques à la médecine anthroposophique. Ils sont élaborés à partir des baies et des jeunes feuilles et proviennent d’arbres hôtes différents, chêne, pommier, pin, …

Jus d’été et jus d’hiver sont mélangés lors de la préparation.

L’administration se fait par voie injectable sous-cutanée, le choix du type de Viscum album (arbre hôte), le dosage et le rythme des injections sont adaptés selon le type de cancer, le stade de la maladie, et la réaction du patient.

Les extraits de Viscum album ont fait l’objet d’investigations scientifiques très étendues, et certaines substances actives contre le cancer comme les Lectines et les Viscotoxines sont particulièrement étudiées, mais cette plante contient nombre d’autres principes actifs qui révèlent leur potentiel à mesure que la recherche avance.

L’efficacité des extraits de Viscum album ainsi que son innocuité ont été largement évaluées au cours des 10 dernières années, on dénombre à ce jour quelques 140 études publiées dans le monde.

Elles ont montré une nette amélioration de la qualité de vie, une amélioration de la fatigue, un effet sur la douleur, et depuis 2009, la prolongation de la durée de vie est de plus en plus documentée.

En cancérologie, le Viscum album, le gui, est une plante fondamentale : amélioration de la qualité de vie, amélioration de la fatigue, effet sur la douleur, et la prolongation de la durée de vie .

L’innocuité du Viscum album a été démontrée par toutes les études cliniques, de même que sa parfaite compatibilité avec les traitements conventionnels.

crédit photo : 1931L’ouvrage

Ce livre, à usage des prescripteurs aborde la botanique du Viscum album, la pharmacognosie, et fait une revue des études cliniques les plus récentes.

L’accent est mis sur la pratique du Viscum album, ses modalités de prescription qui sont adaptées au cas par cas selon le type de cancer, son stade, et bien sûr le patient lui-même.

Le choix de l’arbre hôte ainsi que le suivi du patient font l’objet d’explications simples et pratiques.

Les contre-indication sont clairement identifiées, ainsi que les effets secondaires.

Un ouvrage limpide, pratique et concis qui complètera parfaitement un cursus de formation que nécessite ce type de prescription.

L’auteur : Docteur Robert KEMPENICH
Dr. Robert KEMPENICH
crédit photo : 1932

Spécialiste en médecine générale

Diplôme Universitaire de cancérologie

Certificat Universitaire « Infection par le VIH »

Diplôme Universitaire « Médecine, Méditation et Neurosciences »

Diplôme de l’École Française d’Homéopathie

J’ai été, sur le plan international, durant 24 ans, membre du CA de la IVAA (International Federation of Anthroposophic Medical Associations), président, durant treize ans, de l’ECPM (European Council of doctors for Plurality in Medicine), membre du conseil de CAMDOC Alliance pendant 12 ans ainsi que membre de l’Advisory Board de CAMbrella (étude pan-européenne – 16 universités).

J’ai été successivement, président de l’AMAF (Association Médicale Anthroposophique Française), puis du Mercure Fédéral (Fédération des Associations Médicales Anthroposophiques en France) sur le plan national.

Je suis actuellement président du CNP MEP SMA (Conseil National Professionnel des Médecins à Expertise Particulière – Section Médecine Anthroposophique), de la SSMA (Société Savante de Médecine Anthroposophique) et de l’AREMA (Association pour la Recherche et l’Enseignement en Médecine Anthroposophique).

Tout au long de ces années, j’ai souvent été amené à présenter et à défendre la médecine anthroposophique devant les instances officielles tant nationales qu’européennes.

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